voici l'homme 
              mais surtout j’ai vu les anges fixes invalides 
        poussés à avancer. 
        quelle pitié ! 
       
       
      lentement nos larmes s’épuiseront 
        dans la fluide fêlure du schisme 
        tout comme nos lamentations pour celui 
        qui n’est plus 
        qu’un triangle de sable défait 
       
     
    sans cesse se pose sur les choses 
  la poussière du doute  
      avec le temps nous comprenons 
      que la lumière est folle 
     
          le coq chante une fois 
chante deux  
l’oeil pleure sans cesse 
le silence de la nuit 
     
          géométrie sans dessein  
           troublés par le pur ordre de la fumée 
  des anges se glissent pâles 
      entre les roses rouges et  rouges  
         
         ils grimpaient aux murs 
  les lents, les lourds, ceux d’écume 
  blancs comme les os dans la bataille de l’ombre  
  ils s’étendaient effarés sur les murs polis 
  défaisant le non-être 
 
         chassées les sensations des grandes incertitudes 
         je rêve pour vous des croisées ombragées parmi les moines de ces temps là, 
  aux coeurs - des mains, 
  aux araignées - pailles séchées...  
  pour revenir parmi vous il me fallut donner cet homme, temps de me réjouir des peaux brûlées, du chuchotement de souris. 
ô, parmi vous... 
flots d’heures chaudes, étouffantes 
 entre ces murs blancs ! 
          je m’arrête sans cesse en chemin, seigneur, et sans cesse j’oublie les puits et l'inclinaison qu'ils m'indiquent. 
    quel gâchis de soleil pour nos ombres, jusqu’à ce que tu nous rendendes transparents. 
    et même alors  serions nous tout à fait limpides ?  
    que de lenteurs dans la lumière entre levant et couchant, seigneur, pour que soit balayée toute cette poussière ! 
         
    ô, pas ! ô geste ! comme j’envie votre indépendance ! 
         
    
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                         ........... 
                         mereu se aseaza pe lucruri 
              praful descumpanirii 
              cu timpul întelegem 
            ca lumina este nebuna 
                         cocosul cânta o data 
                      cânta de doua 
           ochiul plânge fara oprire 
           linistea noptii 
                         geometrii fara de îndemn 
                         tulburati de ordinea pura a fumului 
              îngeri aluneca palizi 
              între trandafiri rosii si rosii
               
                         se urcau pe pereti 
              înceti, grei si de spuma 
              albi în bataia umbrei ca oasele 
              se întindeau speriati pe ziduri netede 
              desfacând din nefiinta 
                         gonite simpturile de mari îndoieli 
                         visez pentru voi raspântii umbroase printre calugarii acelor veacuri, inimilor - mîni, paiajenilor - paie uscate, ... 
              ca sa revin printre voi a trebuit sa dau acest om, timp ca sa ma bucur de pieile arse, de soapta de soarec. 
              O, printre voi... 
              siroaie de ore
calde inabusitoare 
ïntre aceste ziduri albe !
 
                          
              
               
               
                          
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