|       voici l'homme 
        le bourg s’approche paisiblement, fumée bleue devine les volutes mais dieu si tu n’es, peux-tu au moins rêver !  silence, silence sans finitude  avec de larges mouvements de crabe   et puis, au soleil, pour des milliers d’années nous sècherons nos blessures fleurs ramassent et taisent ciels aux soubresauts de grandes transparences croix s’en vont droites - comme elles peuvent par intermittence j’invoque l’or avec vous 
  | 
    ...
      
 << Textes 1 à 10 Textes 21 à 30 >>  |